Vous comptez sur les doigts de la main (et des pieds) les gens qui vous aiment. Trouvant que ce n’est pas suffisant, vous vous lamentez, ou bien vous vous jetez au cou de quelqu’un. En fait, vous subissez des courants cosmiques quelque peu provocateurs. Si vous parvenez à vous isoler du chaos ambiant, à retrouver des bruits rassurants, familiers, comme ceux d’une ancienne horloge, comptez les gens que vous aimez. Laissez leur lumière vous éclairer.