Votre imagination est débridée, vous l’utilisez pour écrire, dessiner, raconter des histoires qui se terminent bien. Vous voyez des gens à qui vous tenez, et vous en êtes heureux. Ou bien vous consacrez un peu de votre éternité à consoler des amoureux malheureux ou des malheureuses amoureuses. Vous n’en profitez pas (pas la peine de vous faire un dessin), mais cela vous paraît naturel de vous comporter ainsi.